EMC2 et SUEZ nouent un partenariat stratégique pour développer la méthanisation territoriale

La coopérative agricole EMC2 et SUEZ, acteur majeur de l’économie circulaire et de la valorisation des biodéchets, annoncent la signature d’un partenariat stratégique pour accélérer le développement de projets de méthanisation dans le Grand Est.

Ce partenariat s’appuiera sur la complémentarité de leurs savoir-faire :

• SUEZ exploite déjà plusieurs unités de méthanisation en France et possède une expertise reconnue dans la gestion des biodéchets, de leur tri à la valorisation organique par retour au sol, et valorisation énergétique ;
• EMC2 développe depuis 2020 une activité de méthanisation visant à produire une énergie verte locale permettant aux agriculteurs partenaires de diversifier leurs revenus en valorisant leurs effluents d’élevage, et de bénéficier en retour de fertilisants organiques des sols par l’apport de digestats.

Avec déjà 2 unités en exploitation à Landres et à Villers-le-Lac en Meurthe-et- Moselle, la coopérative confirme ainsi son ambition de démocratiser la méthanisation auprès des agriculteurs, pour en faire un outil structurant au service de l’élevage, de l’agronomie et de la transition énergétique.

Ce partenariat est aussi une réponse concrète aux enjeux des collectivités locales pour la gestion des biodéchets et marque un engagement fort de la coopérative et de SUEZ pour une énergie verte locale et une agriculture résiliente.

La signature de ce partenariat a eu lieu le lundi 2 juin 2025 entre Gérard Teboul, Directeur Général de la branche organique de SUEZ, et Arnaud Le Grom de Maret, Directeur Général du Groupe EMC2.

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Chez EMC2, la méthanisation, c’est déjà :

• 2 unités en exploitation, avec plus de 50 % d’apport d’effluents d’élevage issus de zones de polyculture, collectés en circuit court (rayon moyen de 7 km)

• Une production de gaz vert local alimentant plus de 2 400 foyers

• Une réduction de 98 % des émissions de CO₂ par rapport aux énergies fossiles

• La production d’un fertilisant organique local : le digestat, alternative naturelle aux engrais chimiques

• Un atout agronomique : par l’augmentation des rotations des cultures et donc la réduction des intrants

• Une sécurisation des revenus pour nos agriculteurs, avec une visibilité à 15 ans

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